Trop de bruit pour rien
C'est dingue ce plaisir que prennent les gens à gueuler sur ceux qui pensent pas la même chose qu'eux, sans même chercher à comprendre. Ça se remarque d'autant plus en temps de crise comme en ce moment avec la loi sur "l'égalité des chances" où tout le monde y va de sa ptite phrase savante pour montrer que lui il a tout comprit, que les autres c'est des tout cons qui sont soient stupides, soient manipulés, soient communistes, …
Mais ARRETEZ DE PARLER SI VOUS AVEZ RIEN À DIRE. Pour qui vous vous prenez ??
Ecoutez, discutez, débattez, OSEZ AVOIR TORT !!
ET ARRETEZ DE PRENDRE LES AUTRES POUR DES CONS, on a chacun nos raisons et chacun nos moyens de les défendre !
Voilà 2 petits paragraphes de plus qui servent à rien à part à introduire ce compte rendu très intéressant d'un débat sur le CPE à l'université d'EVRY. C'est après avoir comprit ce genre de chose qu'on peut se permettre de se la raconter.
Débat sur le CPE à l'Université d'Evry : un compte rendu
Commentaires
heuu, c'est un peu déformer mes propos mais pourquoi pas.
Le monde a changé (oui, enfin il change toujours, ce qui se déroule depuis 50 ans n'est qu'une passade au niveau sociétale) mais ce n'est pas pour cela qu'on doit renier ses valeurs et son histoire. Il y a des choses à modifier, des points sur lesquels on doit évoluer, mais pas au détriment des droits du travail qui sont, et je l'espère resteront, salutaires dans le climat d'incertitudes et d'inégalités engendrés par les grands courant d'aujourd'hui comme l'ultra libéralisme.
Pi merde, arrétons de chialer, faut ouvrir les yeux un peu. Ya pas que la France qui a des problèmes en ce moment, c'est le bordel dans les autres pays aussi et on est pas tant à plaindre, crois moi.
Bien dis donc en gros il faut savoir se remettre en question si les choses ont changé mais paradoxalement le monde a changé mais les syndicats ne remettent jamais en question leur sacro-sainte bible "droit du travail"... et comme tu le dis si bien l'impasse est inévitable.
J’aime bien aussi, ça permet de pas grimper trop haut ou trop rapidement dans les conflits, et ça évite les impasses. Paradoxalement c’est en osant accepter avoir tort qu’on se trompe moins.
J'aime bien le "osez avoir tort"