L'aigrie attitude

catalpulté le 01-03-2007 00:32

High Speed camera

 


 
 
catalpulté le 27-02-2007 15:29

L'évolution d’Internet

 


 
 
catalpulté le 26-02-2007 15:07

La crise d'auteur du cinéma Français

Régime d'indemnisation des intermittents, système de financement des films.Solidarité contre CapitalismeDiscours très clair de Pascale Ferran, la réalisatrice de Lady Chatterley, lors de la remise des césars 2007Retranscription de Libération

"Nous sommes nombreux dans cette salle à être comédien, technicien ou réalisateur de cinéma. C'est l'alliance de nos forces, de nos talents et de nos singularités qui fabrique chaque film que produit le cinéma français. Par ailleurs, nous avons un statut commun: nous sommes intermittents du spectacle. Certains d'entre nous sont indemnisés, d'autres non; soit parce qu'ils n'ont pas travaillé suffisamment d'heures, soit, à l'inverse, parce que leurs salaires sont trop élevés pour être indemnisés dans les périodes non-travaillées. C'est un statut unique au monde. Pendant longtemps, il était remarquable parce qu'il réussissait, tout en prenant en compte la spécificité de nos métiers, à atténuer un peu, un tout petit peu, la très grande disparité de revenus dans les milieux artistiques. C'était alors un système mutualisé. Ils produisaient une forme très concrète de solidarité entre les différents acteurs de la chaîne de fabrication d'un film, et aussi entre les générations. Depuis des années, le MEDEF s'acharne à mettre à mal ce statut, en s'attaquant par tous les moyens possibles à la philosophie qui a présidé à sa fondation. Aujourd'hui, il y est presque arrivé. De réformes en nouveau protocole, il est arrivé à transformer un système mutualisé en système capitalisé. Et cela change tout. Cela veut dire, par exemple, que le montant des indemnités n'est plus calculé sur la base de la fonction de son bénéficiaire mais exclusivement sur le montant de son salaire. Et plus ce salaire est haut, plus haut sera le montant de ses indemnités. Et on en arrive à une absurdité complète du système où, sous couvert de résorber un déficit, on exclut les plus pauvres pour mieux indemniser les plus riches.

 


 
 
catalpulté le 23-02-2007 01:01

1 boléro, 1 violoncelle

Le Bolero de Ravel par Stringfever
 


 
 
catalpulté le 23-02-2007 00:30

Du grand journalisme

Extrait d'un journal télévisé du 5/12/06
 


 
 
catalpulté le 22-02-2007 10:23

Une voiture pour homme

 


 
 
 
catalpulté le 16-02-2007 18:02

important : election !!

 


 
 
catalpulté le 16-02-2007 17:42

votons.info

Excellent site décrivant et comparant les programmes de nos divers candidats.Du très bon boulot.http://www.votons.info/
 


 
 
catalpulté le 13-02-2007 13:23

Le buzz de Greenpeace

Spot choc de greenpeace diffusé lors de projections sauvages (ptete pas si sauvages en fait) à paris fin janvier.
Projeté dans la rue ça donne un aspect surréel, limite film fantastique
 


 
 
catalpulté le 13-02-2007 10:47

L'un dans l'autre

Agir sans réfléchir est dangereux. Réfléchir sans agir est inutile.
 


 
 
catalpulté le 12-02-2007 00:16

Vu(e) sur

Miss Gally
 


 
 
catalpulté le 11-02-2007 16:02

Moreira et la censure

"Internet est justement un formidable outil d'accès et de diffusion de l'information. On y « sort » de plus en plus de scoops. Le journaliste d'investigation a-t-il encore sa place face à cette réalité ?Internet signe la fin du journaliste plénipotentiaire. Certains internautes, spécialisés dans un domaine de compétence, sont devenus nos chiens de garde. Je trouve cela extrêmement sain. Mais le Web n'est pas exempt de dérives : d'où vient l'info ? Qui parle ? Qu'est-ce qui prouve que la parole n'est pas manipulée ? En ce moment par exemple, j'ai vu qu'une enquête de 90 minutes sur les OGM tourne en boucle sur Internet sous prétexte qu'elle a été censurée. Or, elle a bien été diffusée sur Canal + en 2005! Aujourd'hui, un bloggeur peut faire connaître au monde entier son point de vue. Mais le journaliste reste garant d'une indépendance et d'une méthode : il vérifie les infos, il multiplie ses sources, il va sur place. Les deux sont complémentaires."
 


 
 
catalpulté le 11-02-2007 15:28

Oui à l'impot - pétition AlterEco

Appel : « Pourquoi nous consentons à l'impôt »